
Le gouvernement rwandais a adopté ce 16 juillet 2025 un projet de loi ratifiant officiellement l’Accord de paix signé avec la République Démocratique du Congo (RDC), marquant une avancée significative vers la fin des tensions persistantes entre les deux pays voisins de la région des Grands Lacs.
Lors de la communication du Conseil des ministres présidé par le président Paul Kagame, le gouvernement a déclaré :
« Cet Accord constitue une étape majeure dans la résolution des préoccupations sécuritaires du Rwanda, la restauration de la paix et de la stabilité dans la région des Grands Lacs, ainsi que la promotion de l’intégration économique régionale. Le Rwanda reste engagé à mettre en œuvre cet Accord et attend avec intérêt la conclusion des discussions de Doha, facilitées par l’État du Qatar, avec le soutien de l’Union africaine (UA). »
Un tournant dans les relations RDC–Rwanda
L’adoption de ce projet de loi intervient dans un contexte de tensions militaires et diplomatiques qui ont affecté la région depuis plusieurs années, notamment dans l’est de la RDC, théâtre de conflits armés alimentés par des accusations mutuelles de soutien aux groupes rebelles.
Pour Fact-OGL, cette ratification représente un signal politique fort en faveur d’un dialogue régional basé sur la transparence, le respect mutuel et l’engagement envers la vérité. Cela ouvre une nouvelle fenêtre d’opportunité pour une coopération régionale effective dans la lutte contre les manipulations de l’information et les récits de haine.
Le rôle de Doha et de l’Union africaine
Les discussions entamées à Doha sous la facilitation du Qatar et avec l’accompagnement de l’Union africaine ont joué un rôle clé dans l’élaboration de cet Accord. Elles visent non seulement à désamorcer les tensions bilatérales, mais aussi à instaurer un cadre pérenne de surveillance et de vérification des engagements mutuels.
Vers une nouvelle ère de coopération
Le processus de ratification de l’Accord devra désormais être complété par des mesures concrètes sur le terrain, y compris la cessation des hostilités, la coopération sécuritaire et judiciaire, ainsi qu’une stratégie régionale de lutte contre la désinformation, qui alimente souvent les conflits.
Fact-OGL appelle les deux gouvernements à communiquer avec clarté et responsabilité autour de cet Accord afin de garantir l’adhésion populaire et de lutter efficacement contre les rumeurs susceptibles de compromettre la paix.
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